Luc Ferrari
co-directed with Gérard Patris
co-directed with Gérard Patris
Les grandes répétitions
1965-68
film
45-55'
© 2018 / ONA 0423
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« I recorded what was going on.
What was or wasn’t going on, in fact. »
What was or wasn’t going on, in fact. »
« J’enregistrais ce qui se passait.
Ce qui se passait ou ce qui ne se passait pas d’ailleurs. »
Ce qui se passait ou ce qui ne se passait pas d’ailleurs. »
Description
fr
Five portraits of musicians:
• Et expecto resurrectionem mortuorum, by Olivier Messiaen, filmed on the occasion of the work’s premiere at Chartres Cathedral, in the presence of General de Gaulle (broad-cast: 11 November 1965)
• Hommage à Varèse, souvenir-portrait and testimonies by several composers (broadcast: 20 April 1966)
• Momente, by Karlheinz Stockhausen. The composer rehearsing with the orchestra for the premiere of his piece (broadcast: June 1966)
• Quand un homme consacre sa vie à la musique, portrait of Hermann Scherchen (broadcast: June 1966)
• Cecil Taylor ou la découverte du free jazz
Colour film, 33 mm (1968)
Not only can these films be considered as essential documents (given the importance of the subject and the way it is treated), but I think it was the first time in France that contemporary music was broadcast on television.
[Luc Ferrari]
• Et expecto resurrectionem mortuorum, by Olivier Messiaen, filmed on the occasion of the work’s premiere at Chartres Cathedral, in the presence of General de Gaulle (broad-cast: 11 November 1965)
• Hommage à Varèse, souvenir-portrait and testimonies by several composers (broadcast: 20 April 1966)
• Momente, by Karlheinz Stockhausen. The composer rehearsing with the orchestra for the premiere of his piece (broadcast: June 1966)
• Quand un homme consacre sa vie à la musique, portrait of Hermann Scherchen (broadcast: June 1966)
• Cecil Taylor ou la découverte du free jazz
Colour film, 33 mm (1968)
Not only can these films be considered as essential documents (given the importance of the subject and the way it is treated), but I think it was the first time in France that contemporary music was broadcast on television.
[Luc Ferrari]
Cinq portraits de musiciens:
• Et expecto resurrectionem mortuorum, d'Olivier Messiaen, à l'occasion de la création de l'œuvre dans la cathédrale de Chartres, en présence du Général De Gaulle (diffusion : 11 novembre 1965).
• Hommage à Varèse, portrait-souvenir et témoignages de plusieurs compositeurs (diffusion : 20 avril 1966).
• Momente, de Karlheinz Stockhausen. Le compositeur répète avec l'orchestre, pour la création de son œuvre (diffusion : juin 1966).
• Quand un homme consacre sa vie à la musique, Portrait de Hermann Scherchen (diffusion : novembre 1966).
• Cecil Taylor ou la découverte du free jazz. Film en couleur, 35 mm pour la Télévision Française (1968).
Non seulement on peut considérer ces films comme des documents (vu l'importance du sujet et la manière dont il est traité), mais je crois que c'était 1966-1967 la première fois qu'on diffusait en France de la musique contemporaine à la télévision.
[Luc Ferrari]
• Et expecto resurrectionem mortuorum, d'Olivier Messiaen, à l'occasion de la création de l'œuvre dans la cathédrale de Chartres, en présence du Général De Gaulle (diffusion : 11 novembre 1965).
• Hommage à Varèse, portrait-souvenir et témoignages de plusieurs compositeurs (diffusion : 20 avril 1966).
• Momente, de Karlheinz Stockhausen. Le compositeur répète avec l'orchestre, pour la création de son œuvre (diffusion : juin 1966).
• Quand un homme consacre sa vie à la musique, Portrait de Hermann Scherchen (diffusion : novembre 1966).
• Cecil Taylor ou la découverte du free jazz. Film en couleur, 35 mm pour la Télévision Française (1968).
Non seulement on peut considérer ces films comme des documents (vu l'importance du sujet et la manière dont il est traité), mais je crois que c'était 1966-1967 la première fois qu'on diffusait en France de la musique contemporaine à la télévision.
[Luc Ferrari]
Credits
- 5 television documentaries, 16mm dual band
- 5 portraits of musicians, co-directed with Gérard Patris
- Produced by the Service de la Recherche, ORTF
In communication with Marcel Duchamp © Rights reserved
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Luc Ferrari
About
fr
1929 – 2005
Never ceasing to investigate, Luc Ferrari leaves behind a body of work by turns exalting, noble, funny, intimate, and nocturnal. Like a mirror turned toward the Other, it reflects the world and its fantasies.
He had a weakness for women with accents.
Find the near-complete catalogue of his mixed music and sonic pieces at Maison ONA — about 150 works released over time.
Never ceasing to investigate, Luc Ferrari leaves behind a body of work by turns exalting, noble, funny, intimate, and nocturnal. Like a mirror turned toward the Other, it reflects the world and its fantasies.
He had a weakness for women with accents.
Find the near-complete catalogue of his mixed music and sonic pieces at Maison ONA — about 150 works released over time.
1929 – 2005
N’ayant eu de cesse de questionner, Luc Ferrari nous laisse une œuvre tour à tour solaire, généreuse, drôle, intime ou nocturne. Tel un miroir tourné vers l’autre, s’y reflètent le monde et ses fantasmes.
Il avait un petit faible pour les femmes avec un accent.
Retrouvez chez Maison ONA la quasi-intégralité de ses pièces mixtes et sur support — soit environ 150 œuvres progressivement disponibles.
N’ayant eu de cesse de questionner, Luc Ferrari nous laisse une œuvre tour à tour solaire, généreuse, drôle, intime ou nocturne. Tel un miroir tourné vers l’autre, s’y reflètent le monde et ses fantasmes.
Il avait un petit faible pour les femmes avec un accent.
Retrouvez chez Maison ONA la quasi-intégralité de ses pièces mixtes et sur support — soit environ 150 œuvres progressivement disponibles.